Deux semaines que le moindre début de post de blog tourne au pugilat, d'où la sobriété post-censure à la machette du dernier par exemple... Jusqu'à ce que ni vu ni connu, lair de rien mes explosions trouvèrent soudain concurrence sans appel de la forêt et là je pose la plume Sir. Blasée je n'ai plus qu'à m'en tenir à un contenu strictement normal tel ce qui suit, qui illustre parfaitement le concept de "oh mon dieu je ne referais probablement plus jamais de gravure que faire", réalisé — la mort dans l'âme donc — en monochrome à l'aquarelle :
{ Oh non j'ai fait tomber le seul scanner de l'univers qui respectait l'aquarelle ! Il m'invente des trames désormais ! )
Et ce n'est pas tout, il y a eu, prolifique semaine, ma participation au concours de François Amoretti, convention lolita oblige. Ce que je me suis bien gardée d'advertiser ici des fois qu'un wapanese récupère l'info et organise un raid depuis sa JE toute pourrie, tandis que quelques traîtresses à la cause mais surtout des groupies en costume de maid et leurs fanarts stratégiquement ecchi (les yaois sont dans le carton du dessous) s'agiteraient frénétiquement sous leur nez "mais moi je suis là ! si tu ne me regardes pas je m'hentai les veines !", en vain hélas car au fond les wapanese préfèrent de loin lécher les boules d'un certain mammifère en peluche et probable que la maid aussi, et zut et flute n'avais-je pas dit que j'arrêtais ce genre de propos maintenant que la lutte est vaine, gomenasaïmassue sempaï sushilol, trop tard j'entends leurs chiens après moi, mais pourquoi des bichons il faudra m'expliquer, d'ailleurs ils ont frisé car il pleuvait des cordes tandis que je crisais car il pleuvait des Ford, je viens de dépasser la perpétuité je crois,
{ Cher Auryn, tu n'étais pas obligé d'exaucer illico CE souhait folâtre )*
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